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Lors de vos randonnées (ça marche aussi pour le ski de rando), la première couche de textile, directement en contact avec la peau, doit garantir confort, protection et liberté de mouvement. Voici les 5 questions clés à se poser pour emporter le bon vêtement.
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Le système des trois couches est bien connu des randonneurs et autres adeptes des sports de pleine nature pour une bonne isolation thermique Une première couche confortable et respirante, une seconde chaude (doudoune ou polaire), une dernière pour l’isolation contre le vent et l’humidité et les intempéries en général (la « Gore Tex » ou équivalent, une veste membranée qui est imperméable). Cela fait partie intégrante des tactiques pour lutter contre le froid en randonnée (que nous détaillons ici : 8 astuces pour bien se protéger du froid en randonnée et permet de faire face à quasiment toutes les météos, en dehors des extrêmes de froid (où il s’avère important de disposer de couches supplémentaires).
Nous nous concentrerons dans cet article sur la première couche du randonneur, cet oignon qui marche. C’est celle qui est en contact avec la peau. Elle ne concentre pas toujours l’attention, mais elle est pourtant cruciale, notamment pour lutter contre le froid tout en gardant confort et liberté de mouvement.
Bien sûr, le choix de la première couche diffère en fonction de la température. Si la température est douce, c’est facile : un tee-shirt, de coupe classique ou cintrée, dans une matière adaptée à la pratique, suffira généralement. Lorsqu’il fait chaud, ce sera généralement la première et unique couche que l’on porte en marchant !
Par temps froid ou de grand froid, le choix est tout aussi crucial et un peu plus complexe : il faut un vêtement technique qui garantit à la fois chaleur et protection tout en restant respirant (voir notre 2e question).
Les manches longues sont indiquées lorsque le thermomètre descend sous les 10 degrés. Par temps très froid, on adoptera cette première couche en bas aussi pour bien réguler sa température.
Il faut bien veiller à utiliser une première couche adaptée à la température.
Certaines marques ont développé des fibres adaptées au froid, qui utilisent même l’humidité corporelle pour produire de la chaleur par un procédé chimique. D’autres indiquent aussi les plages de températures indiquées pour leurs différents produits : c’est une bonne information, même si rien ne remplace votre ressenti et vos besoins personnels. Il faut donc tester, même si ces informations peuvent vous guider dans vos achats et vos choix.
Directement en contact avec la peau, la première couche thermique doit assurer une excellente évacuation de la transpiration et de l’humidité ; non seulement pour garantir un confort agréable, mais aussi pour mieux assurer une bonne chaleur et éviter les mauvaises odeurs corporelles. Si l’on est mouillé, même en dessous d’autres vêtements, on finit par ressentir le froid. Vérifiez donc bien que votre première couche est respirante.
La première couche doit être agréable au toucher et confortable sur la peau. Elle ne doit surtout pas irriter, provoquer des frottements intempestifs. Pour être sûr que le vêtement vous convient, il faut bien entendu tester votre couche de base sur une petite randonnée avant de vous élancer sur une sortie plus longue ou sur un itinéraire de plusieurs jours avec.
Vous devez aussi vous soucier de la coupe, qui doit être près du corps, mais garantir une bonne liberté de mouvement : ce n’est pas toujours facile ! Il faut être « gainé » dans le vêtement, mais en aucun cas comprimé.
Encore plus que pour les autres éléments de la panoplie du randonneur, la question du choix des fibres se pose pour enfiler une bonne première couche isolante. Outre les qualités hydrophobes (qui permettent l’évacuation de l’humidité) et respirantes des différentes fibres, le confort et la douceur du contact sont donc importants.
Pour le premier aspect, les fibres synthétiques, technologiques, tiennent la corde. Pour le confort, les fibres naturelles sont souvent plébiscitées. La laine Mérinos est particulièrement appréciée. Elle sèche moins vite que le polyester, mais elle est agréable et ne sent pas mauvais après plusieurs jours sans lavage, un avantage important pour la randonnée itinérante et les grands treks.
D’autres fibres végétales, issues du coton ou de l’eucalyptus, présentent des propriétés de respirabilité et de séchage satisfaisantes. On les voit de plus en plus sur le marché.
Pour contre-attaquer, certaines fibres synthétiques offrent désormais un confort plus doux et proche des matières naturelles. Le choix reste ouvert et sera en fonction de votre ressenti et de votre porte-monnaie : ces produits techniques peuvent atteindre des prix très élevés !
À vérifier également (mais seule la pratique vous le dira…) : la tenue et la durée de vie de ces différents produits, qui peuvent malheureusement parfois être décevantes.
Sur une randonnée à la journée, une seule première couche convient généralement, même si par précaution vous pouvez prendre un change, notamment pour mieux apprécier la pause pique-nique au sec et dans le cas où les conditions météorologiques changent. Néanmoins, si votre première couche thermique est bien adaptée, vous ne devriez pas ressentir le besoin de vous changer dès que vous vous arrêtez !
Sur une grande randonnée de plusieurs jours ou en trek, il vous faudra prendre plusieurs vêtements qui pourront servir de première couche : au minimum (si vous êtes vraiment exigeants sur le poids de votre sac), emportez deux vêtements de premières couches : l’un pour la marche, l’autre pour la soirée et la nuit.
Vous pouvez aussi prévoir deux vêtements (au minimum, trois peut être une sécurité sur un voyage de plusieurs jours) adaptés chacun à des températures différentes, surtout si vous devez évoluer à des altitudes différentes.
Voilà, vous connaissez maintenant les 5 bonnes questions à vous poser pour choisir avec sagesse votre première couche thermique pour partir en rando !
Profitez bien de vos balades !
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Se lancer sur un trail ne s'improvise pas ! Voici tous nos conseils pour vous préparer !
Vous avez envie de vous lancer dans une randonnée itinérante en trail, mais vous ne savez pas comment vous préparer ? C’est un sentiment courant (sans mauvais jeu de mots). En effet, les coureurs de trail ne sont pas forcément toujours à l’aise pour définir un parcours, qui ne sera pas balisé par une organisation.
Ils ont parfois du mal à se projeter vers un défi sans encadrement et organiser leur propre logistique. Si vous voulez vous lancer dans un tel défi, nous vous guidons ici étape par étape pour bien vous préparer. Allez hop, c'est parti pour comprendre comment se bien préparer au trail !
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Le Trail « off » (c’est-à-dire « hors compétition ») et le fast hiking (ou randonnée rapide si on veut parler français) sont des tendances émergentes qui peuvent renouveler la randonnée, au moins pour attirer de nouveaux pratiquants, au profil plus sportif.
La première étape consiste donc à définir votre parcours et estimer le temps qu’il vous prendra.
Pour cela, l’utilisation des cartes topographiques, des guides de randonnée et des sites internet spécialisés dans les itinéraires de randonnée sont très utiles. Iphigénie et Whympr sont par exemple, de précieux alliés pour choisir votre parcours puis le suivre pendant votre course.
Vous devez le déterminer aussi en fonction de votre niveau de forme, afin d’établir un objectif réaliste, vous assurez des ressources en eau, des ravitaillements possibles, ainsi que des abris disponibles sur le parcours.
Vous pourrez aussi motiver quelques amis pour partager votre parcours, que ce soit pour venir courir avec vous ou assurer une assistance sur le terrain (là aussi, vous pourrez identifier, grâce à Iphigénie, vos points de rencontre sur le parcours).
Vous pouvez également demander l’aide d’un accompagnateur en montagne pour définir votre parcours et planifier votre logistique si vous en avez envie.
La randonnée en itinérance est une pratique exigeante, qui demande une bonne condition physique et une bonne endurance.
Bien entendu, sur ce type de défi hors compétition, il n’y a aucun classement ni rien à gagner, mis à part la grande satisfaction personnelle d’avoir atteint votre but et de vous être fait plaisir !
Pour ne pas trop souffrir ni devoir abandonner votre tentative, un entraînement adapté doit être conduit. Ce peut être aussi une question de sécurité que de vous garantir d’être prêt physiquement et psychologiquement avant le Jour J.
Mis à part si vous visez un record, vous partirez sans doute dans l’idée de tenir la distance dans la journée ou les jours impartis : misez donc surtout sur l’endurance générale et les sorties longues et peu intenses, avec un peu de vitesse pour maintenir un certain tonus musculaire et des séances de renforcement musculaire pour éviter de vous blesser.
Vous l’avez compris, il est important de s’entraîner régulièrement en faisant des marches régulières, des séances de marche nordique, de la course à pied ou du VTT pour s’habituer aux différents terrains et aux dénivelés.
Ce n’est pas très différent d’une préparation pour une compétition, mais avec moins de pression. En plus, si vous ne vous sentez pas encore prêt alors que la date approche, vous pourrez souvent décaler celle-ci pour terminer votre préparation : c’est plus souple qu’une date de course !
La randonnée itinérante nécessite une préparation minutieuse sur le plan logistique. Il faut prévoir les ravitaillements en nourriture et en eau, chercher les abris possibles : refuges, gîtes d’étape, campings, sécuriser votre matériel et organiser le transport de vos bagages.
Voici donc nos conseils pour la gestion de la nourriture, de l’eau et des vêtements lors d’un trail « off » et quelques astuces utiles pour bien vous préparer avant de vous lancer sur une rando-course de plusieurs jours.
Vous devez en effet vous préparer à être autonome durant toute votre course : il n’y a aucune organisation pour assurer votre ravitaillement, à la différence d’une épreuve organisée ! La logistique est le principal challenge de ce type de rando-course, surtout lors d’un trail « off » de plusieurs jours.
Vous devez prévoir votre nourriture pour toute la course : prenez suffisamment pour boucler confortablement votre parcours, en prévoyant au minimum l’équivalent de deux barres énergétiques par heure, ainsi qu’un pique-nique pour une pause plus longue.
Vous pouvez bien sûr, si vous disposez d’une assistance, prévoir vos points de rencontre et un ravitaillement intermédiaire, qui peut être très utile si vous souhaitez aller vite : il faut aussi penser à optimiser le poids de votre sac !
N’oubliez pas non plus que vous pouvez peut-être vous ravitailler dans un village, une épicerie ou même vous arrêtez manger dans un refuge pendant votre course : c’est un des charmes du trail « off » par rapport à son homologue en compétition.
Elle peut être cruciale sur un trail « off » : partez avec suffisamment d’eau, repérez bien sur le parcours (grâce à Iphigénie notamment !) les sources, refuges et autres points d’eau où vous pourrez remplir vos gourdes, bidons et poches à eau. Sur certains parcours, il est prudent d’emporter des pastilles de purification d’eau ou une gourde filtrante.
La randonnée itinérante implique souvent de porter soi-même son matériel de bivouac et ses provisions. Il est donc essentiel de choisir un sac à dos adapté à votre morphologie, résistant et confortable, ainsi que des chaussures adaptées à votre pratique, des bâtons de randonnée pour les dénivelés, des vêtements adaptés aux conditions météorologiques et une tente légère pour passer la nuit en pleine nature.
Nous vous conseillons de lire notre article sur le sac parfait pour une grande randonnée.
Lors d’un trail « off » de plusieurs jours, vous devrez prévoir des vêtements de rechange, au moins une tenue du soir et une autre pour courir. L’option du couchage en « dur » ou en bivouac influencera largement le contenu de votre sac.
Dans ce dernier cas, il vous faudra optimiser en adoptant la stratégie des randonneurs ultralégers, MULE, avec tente, sac de couchage et autres éléments de camping dont le poids et l’encombrement sont réduits au maximum si vous voulez courir.
N’hésitez pas à aussi à lire tous nos conseils sur le choix de votre pointure de chaussures pour marcher longtemps sans avoir mal aux pieds !
Avant de partir en randonnée itinérante, il est important de se renseigner sur les règles en vigueur dans les parcs nationaux, les réserves naturelles et les zones protégées.
On trouve souvent des informations sur les sites internet des offices de tourisme, des fédérations de randonnée et des associations de protection de la nature.
En suivant ces étapes, vous serez prêt à vous lancer dans une randonnée itinérante, que ce soit en mode trekking en haute montagne, en trail running ou en randonnée pédestre sur plusieurs jours.
Vous pourrez ainsi découvrir les plus beaux sentiers de France, traverser des massifs et des vallées, admirer des panoramas exceptionnels, croiser la faune et la flore locale, et vivre des moments inoubliables en pleine nature.
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Vous rêvez de dormir en pleine nature ? Cet article va vous donner tous les conseils indispensables pour bien préparer votre bivouac.
Vous rêvez de dormir en pleine nature ? Vous avez envie de partir en randonnée itinérante et de dormir au bord des chemins ? Parfait ! Cet article va vous donner tous les conseils indispensables pour bien préparer votre bivouac et profiter ainsi de cette belle aventure en plein air !
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Le bivouac est une pratique de pleine nature qui ouvre un champ des possibles infinis et permet une réelle connexion avec la nature. Que vous soyez randonneur, campeur, trekkeur ou simplement un amoureux de la nature, le bivouac est une façon unique de s'immerger dans l'environnement naturel !
En effet, le principe du bivouac est de passer la nuit à la belle étoile ou sous une tente improvisée lors d’une randonnée ou un trek de plusieurs jours. Ils peuvent également être organisés pour une seule nuit en permettant aux randonneurs de camper dans des endroits magiques où les campings ne fournissent pas d'emplacement (en respectant les interdictions bien sûr, on le verra plus loin !).
Il existe plusieurs types de bivouac. Le bivouac est une pratique légère et mobile qui implique une nuit passée sous une tente fine ou à la belle étoile, du coucher au lever du soleil.
Le camping sauvage lui, est la pratique de camper n'importe où dans la nature, sans avoir réservé un endroit précis.
Bien que les deux pratiques soient souvent confondues, elles sont distinctes. Le bivouac est idéal pour les randonneurs, tandis que le camping sauvage convient davantage aux voyageurs motorisés.
Le bivouac en montagne, par ailleurs, est une expérience unique qui nécessite une préparation plus complexe, car les conditions climatiques peuvent être extrêmes. Les randonneurs doivent apporter un sac de couchage, un tapis de sol et un réchaud pour se protéger du froid et préparer des repas chauds.
Si le plaisir de se réveiller au saut de la tente dans un environnement splendide et préservé est réel, il faut se prémunir des mauvaises surprises : nous soulignons ici l’importance de la réglementation et du choix d’un lieu adéquat, complétée par un équipement adapté pour bien vivre cette expérience unique !
Le bivouac et le camping sauvage en pleine nature nécessitent une préparation minutieuse pour éviter les mauvaises surprises. Pour profiter de cette expérience en toute sécurité. Il est très important de respecter certaines zones interdites et d'être discret pour éviter de perturber la faune et la flore locales.
Avant de partir, il est essentiel de se renseigner sur la réglementation en vigueur pour éviter les ennuis. En France, la réglementation est complexe et chaque entité géographique possède ses propres règles.
En général, le camping sauvage est autorisé en dehors des routes et voies publiques, avec l’accord du propriétaire. Toutefois, il est interdit sur les rivages de la mer, à proximité des monuments historiques, dans les parcs et jardins, ainsi qu’à moins de 200 mètres des points d’eau captés pour la consommation.
Le bivouac est également soumis à des règles spécifiques dans chaque parc naturel régional ou national.
Enfin, certains arrêtés préfectoraux ou municipaux peuvent modifier les règles sur certaines zones pour des durées limitées ou non ! Il est donc crucial de se renseigner sur les restrictions en vigueur avant de partir, pour éviter d’être réveillé par la gendarmerie en pleine nuit et de devoir vous acquitter d’une amende qui gâcherait beaucoup le plaisir (sans compter que vous devriez quitter les lieux).
Il peut être difficile de trouver les informations sur la réglementation en vigueur pour chaque lieu. Il est conseillé de contacter l’office de tourisme local, le parc naturel régional ou national concerné, ou encore la mairie pour obtenir des informations précises.
En suivant ces conseils, vous pourrez profiter pleinement de votre expérience en pleine nature en toute sécurité !
Les parcs nationaux ou réserves naturelles sont des endroits populaires pour les randonneurs et campeurs.
Cependant, ils ont des limites précises et des règles strictes pour préserver l'éco-système. Il est important de se renseigner directement auprès d’eux, sur les règles et de respecter les interdictions pour ne pas perturber l'environnement naturel.
Pour plus de sécurité, on vous invite aussi à lire notre article sur les précautions indispensables pour partir en randonnée.
Une fois vous être assuré d’être dans les clous de la réglementation, veillez à trouver le bon spot : installez-vous près d’une source ou au moins d’un cours d’eau claire (vous pourrez filtrer, traiter ou chauffer pour la consommation), sur un terrain plat et sans trop d’aspérités où vous pourrez planter vos sardines sans trop de difficulté.
Les bivouacs près d'un lac ou d'une rivière sont idéaux pour bénéficier d'une source naturelle d'eau, mais il faut être sûr de pouvoir accéder à cette eau sans perturber l'environnement. Les heures de marche doivent être prises en compte pour choisir l'emplacement du bivouac et le temps nécessaire pour monter la tente ou installer un abri temporaire.
Bien sûr, recherchez le calme, la discrétion et si en prime le lieu offre une belle vue pour mieux profiter du coucher et du lever du soleil, alors n’hésitez plus.
L’art du bivouac nécessite logistique et bon sens. L’équipement reste primordial : une tente légère, mais protectrice est un minimum confortable est un investissement incontournable. La qualité du sac de couchage est primordiale : il doit être adapté au climat tout en restant léger et compactable.
En cas de bivouac hivernal, il est recommandé d'apporter une couverture de survie pour éviter la condensation. Pour planter sa tente, le choix de l'emplacement est crucial. Il doit être discret, suffisamment plat et loin des points d'eau pour éviter les inondations en cas de pluie.
À moins de se contenter d’un repas froid, le réchaud est indispensable. On vous conseille d’investir dans un modèle à gaz performant, c’est plus efficace.
Pour dormir confortablement, un tapis de sol - ou mieux, un matelas autogonflant - est plus qu’appréciable. Votre dos vous remerciera au réveil.
Les sacs-à-dos doivent également contenir tous les équipements de camping nécessaires, tels que des piquets pour planter la tente et une bâche pour se protéger de la pluie. Lisez notre article sur le sac parfait pour une grande randonnée.
Enfin, vêtements chauds, sous-vêtements thermiques et rechanges secs sont incontournables, même en été.
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Tout l’art de bien s’équiper tient dans l’équilibre à trouver entre confort et légèreté, surtout si vous campez lors d’un trek itinérant. En effet, même s’il est largement plus agréable de marcher avec un sac léger, vous serez fort dépourvus si vous passez des nuits trop inconfortables, par manque d’équipements.
En résumé, le bivouac est une expérience passionnante et enrichissante pour les amateurs de plein-air. Que ce soit en camping sauvage ou en camping organisé, cette pratique permet de passer des moments uniques en communion avec la nature. Il est important de se préparer correctement, de respecter les lois et la nature, mais le jeu en vaut la chandelle si on apprécie la vie en plein-air.
Alors, bien installés ? On vous souhaite une douce nuit sous les étoiles !
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Le soleil commence à repointer le début de son nez et ça fait du bien ! Pourtant, c'est aussi l'ennemi numéro 1 lors d'une rando, voici donc nos conseils pour bien vous protéger.
Le soleil est bien sûr un allié lorsqu’il s’agit de se motiver pour partir randonner. Le beau temps avec l’astre du jour au firmament sur un ciel bleu est toujours plus encourageant ! Pourtant, marcher sous le soleil présente bien des dangers et des inconvénients. Voici 5 conseils pour mieux se préserver en randonnée lors des journées les plus chaudes et ensoleillées.
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Les beaux jours pointent à l’horizon et après les problématiques spécifiques à l’hiver, que nous avons abordé dans ce blog, voir par exemple nos 8 astuces pour bien se protéger du froid en randonnée, c’est bien ceux liés à la randonnée par temps chaud qui vont bientôt revenir se poser !
S’il est agréable de s’élancer sous un beau soleil, les journées chaudes sont souvent les plus difficiles pour la pratique de la randonnée, mais aussi du trail ou du vélo. La chaleur peut être désagréable, inconfortable voire même vous mettre en danger lors de vos sorties et c’est un facteur à ne surtout pas négliger en termes de stratégie vestimentaire et d’hydratation notamment.
En effet, si lutter contre le froid est relativement facile (il suffit de bien se couvrir !) résister à la chaleur pose bien plus de problèmes, car aucun vêtement ni aucune stratégie d’adaptation ne peuvent totalement garantir une parfaite adaptation aux températures élevées.
Voyons néanmoins 5 conseils pour mieux résister à la chaleur et se protéger du soleil.
La chaleur présente plusieurs risques qui sont accrus par l’activité physique. Le coup de chaud, l’insolation est bien sûr un risque majeur lorsque l’on pratique une activité physique, telle que la randonnée. Il faut donc être particulièrement prudent et bien mesurer son effort lorsque le soleil tape.
Il faut, à l’instar de ce que l’on fait pour l’altitude, adapter ses étapes et son effort en fonction de la chaleur. Ainsi, s’il fait très chaud, on devra peut-être reconsidérer la longueur de la randonnée prévue. Il faudra aussi s’accorder davantage de pauses, prévoir sans doute un temps de marche plus important.
Lorsqu’il fait chaud, il convient de veiller encore davantage aux apports en eau. L’hydratation à l’effort est cruciale et l’eau doit être le premier souci du randonneur. Il faut toujours en apporter suffisamment et se renseigner sur les ressources sur votre parcours.
Avec l’effort, les besoins en eau sont élevés. Au moins 2 à 2,5 litres d’eau par jour de randonnée, mais beaucoup plus si la température est élevée. L’intensité et la chaleur vous dictent certes vos besoins, mais il ne faut pas attendre d’avoir soif pour boire : c’est signe que vous êtes déjà déshydraté.
La déshydratation freinera nettement votre effort et présente de nombreux risques pour la santé. Buvez régulièrement, en vous accordant une pause pour bien prendre le temps de boire une quantité suffisante (l’équivalent d’un verre par heure au minimum).
En randonnée, on a le temps de boire ! L’eau est suffisante pour le randonneur (vous pouvez la compléter de sirops si vous préférez, sans excès de sucre). Pour s’assurer que vous êtes correctement hydraté, c’est simple : vous devez uriner et vos urines doivent être claires et sans forte odeur.
Surtout, lors d’une randonnée itinérante, si vous terminez une étape déshydraté, veillez à bien compenser ces pertes le soir et le matin suivant et n’enchaînez pas les journées dans cet état. La déshydratation répétée peut avoir de graves conséquences, n’hésitez pas à en parler à un professionnel de santé si besoin.
Le soleil présente aussi un autre danger, plus insidieux, mais tout aussi dangereux : le rayonnement des UV nocifs. Une exposition excessive au soleil peut causer des coups de soleil, des brûlures cutanées, une pigmentation inégale, le vieillissement prématuré de la peau et augmenter le risque de cancers cutanés.
Pour protéger sa peau, il est crucial d’utiliser une crème solaire avec un indice de protection FPS adéquat (au moins 30), qui correspond au type de peau et au niveau d’exposition au soleil. Il est important de se protéger également contre les rayons UVA et UVB, qui sont responsables de la plupart des cancers de la peau, notamment le mélanome. Il existe des crèmes solaires adaptées au sport. N’oubliez pas d’en mettre même en hiver sur les massifs.
Il favorise aussi les cancers et les cataractes précoces et autres problèmes oculaires. Il convient de ne pas négliger les effets néfastes des rayons UV sur la rétine, qui peuvent causer des lésions irréversibles. Il faut donc absolument se protéger du soleil quand on marche. Lunettes de soleil et casquette ou chapeau sont des outils indispensables. Enfin, si on a une peau très sensible, pantalons et manches longues sont recommandés dans les zones où le soleil est très vigoureux !
Enfin, il est important de prendre soin de sa peau après l’exposition au soleil en utilisant des produits après-soleil pour hydrater et apaiser la peau. Il est également important de boire suffisamment d’eau pour éviter la déshydratation et de manger une alimentation saine et équilibrée, qui peut aider à renforcer la peau et à prévenir les dommages des radicaux libres causés par le soleil.
À l’instar du froid, la chaleur exige des vêtements spécifiques. Il faudra en effet se couvrir (notamment pour protéger les zones les plus fragiles des rayons du soleil) tout en favorisant les échanges thermiques et l’évacuation de la chaleur. Ils devront être légers, respirants et dans des matières adaptées (qu’elles soient synthétiques ou naturelles – on trouve maintenant des vêtements comportant de la laine mérinos très fins et agréables à porter dans la chaleur).
Il est recommandé de porter des vêtements de couleur claire pour éviter d’attirer la chaleur et protéger sa peau des rayons. On préfèrera des coupes amples, qui amélioreront la circulation d’air et les échanges thermiques. Les manches courtes et les shorts sont bien sûr conseillés, pourvu que votre peau soit à cet endroit assez habituée au soleil ou protégée par une crème solaire adaptée (voir plus haut). Les chaussures devront également être adaptées aux fortes chaleurs, car porter des chaussures qui tiennent trop chaud pourra être inconfortable : échauffements, ampoules, seront favorisés.
Il faut donc privilégier les modèles aérés, aux mesh respirants (les membranes imperméables peuvent être désagréables par forte chaleur), voire même sur certains terrains, des sandales adaptées à la randonnée. N’hésitez pas à lire notre article : Chaussures de rando : 8 caractéristiques à connaître pour faire le bon choix.
Enfin, on veillera à se mouiller régulièrement pour aider à abaisser la température corporelle pendant l’effort. L’eau fraîche, ou froide, est bien sûr plus efficace. En montagne, on ne se privera pas de s’asperger aux torrents, de mouiller les couvre-chefs. Les fontaines, voire les cours d’eau, sont tout à fait indiqués également.
Certains vêtements spécialement conçus pour retenir l’eau et apporter de la fraîcheur (grâce à des microcristaux) peuvent aussi être intéressants. Les couvre-chefs en coton (qui ne sèchent pas vite) sont souvent plus efficaces de ce point de vue que ceux, très aérés et en fibres synthétiques, conçus pour sécher très vite.
En résumé, marcher sous le soleil est bon pour la santé et les bienfaits du soleil ne sont plus à démontrer, mais il est important de prendre des précautions pour éviter les méfaits du soleil et préserver sa santé et celle de sa peau. La chaleur est le pire ennemi du randonneur ! En suivant ces quelques règles simples de protection solaire, il est possible de profiter des bienfaits du soleil tout en réduisant les risques d’une exposition excessive aux rayonnements nocifs du soleil.
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