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6 choses que vous devez emporter pour marcher (presque toujours) au sec
Si un dicton célèbre dit « pluie du matin n’arrête pas le pèlerin », c’est plutôt cette autre sentence « il n’y a pas de mauvais temps, il n’y a que de mauvais équipements » que nous retiendrons ici ! En effet, aussi perturbante qu’elle puisse être, la pluie n’est pas un prétexte absolu pour ne pas partir marcher. Nous vous donnons ici les clés pour savoir comment vous habiller en randonnée sous la pluie et marcher heureux !
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Élément fondamental du sac à dos du randonneur, la veste de pluie ne s’oublie pas, quel que soit le temps au départ, même si la sortie prévue est courte ! Il existe une immense diversité de modèles, adaptés à différentes conditions. Pour vous protéger efficacement de la pluie, un simple « coupe-vent » se révèlera sans doute insuffisant. Après, se pose comme toujours la question de l’équilibre entre le confort/la protection/la légèreté et l’encombrement, sans parler du prix, qui peut grimper fort lorsque l’on veut optimiser tous les paramètres.
Les « Schmerber », l’unité de mesure qui précise l’imperméabilité d’un vêtement peut être une indication utile. À 10 000 Schmerber, la valeur requise pour le matériel obligatoire de l’UTMB® notamment, on a déjà une veste très protectrice de l’eau. On considère qu’un vêtement est totalement imperméable à 20 000 Schmerber.
Attention, l’imperméabilité n’est donc pas le seul facteur à retenir, car dans le cas d’une veste de randonnée, sa respirabilité, c’est-à-dire sa capacité à évacuer la transpiration, et ainsi à vous maintenir dans un certain confort intérieur et ne pas avoir trop chaud, est également cruciale.
L’effet hammam de certaines vestes est terrible !
Là encore, différentes unités de mesure existent (MVTR et la RET notamment) pour vous renseigner sur la respirabilité d’un produit. Néanmoins, en terme de respiration, c’est aussi votre ressenti personnel, votre sudation et votre propre zone de confort thermique qui seront déterminants. Bref, c’est en testant une veste que l’on se rend vraiment compte de son confort en mouvement…
Plus facile à écrire qu’à faire quand on doit l’acheter en magasin ou par Internet, donc les unités de mesure peuvent bien vous guider dans l’achat.
On veillera aussi à des points de détails, comme les fermetures (étanches elles aussi si besoin), les manches, le col… Car c’est souvent par là que l’eau finit par s’infiltrer !
Si vous savez que vous allez marcher de longues heures sous la pluie, ou si vous partez pour un long voyage à pied en itinérance, d’autres éléments de votre panoplie seront là pour encore mieux vous protéger des intempéries.
Un pantalon de pluie (ou un surpantalon), léger, si possible bien compactable, membrané et respirant sera un plus non négligeable pour vous protéger aussi le bas du corps. Pour la tête, même si la plupart des vestes sont pourvues de capuches enveloppantes et réglables, vous préféreriez peut-être un chapeau de pluie ou une casquette, souvent plus protectrice et qui permettent de conserver un meilleur angle de vision : la capuche peut parfois gêner à ce niveau.
En plus, si vous portez des lunettes, la visière du chapeau ou de la casquette sera utile pour les protéger de la pluie. Il est très gênant d’avoir ses verres pleins d’eau !
Quasiment indispensable pour protéger vos affaires, le sursac de randonnée imperméable ne doit pas être oublié. Il est souvent fourni avec le sac à dos, mais on a trop tendance à l’oublier et à l’égarer.
En cas de perte ou de manque, vous pouvez en trouver (à la bonne dimension bien sûr) à vendre séparément. C’est vraiment une garantie indispensable pour tenir vos affaires le plus au sec possible.
Si vous avez vraiment peur que vos affaires soient mouillées quand même, surtout en cas de grosse pluie, prévoyez des sacs poubelles ou des petits sacs étanches pour y enfermer vos vêtements et autres lors de la marche. C’est une astuce efficace car malgré la protection du sursac.
Enfin, le poncho peut être un complément – voire une alternative – très efficace à la veste de pluie. Il protège particulièrement bien de la tête jusqu’au bas des jambes. Le sac est également au sec.
Il n’est pas forcément adapté à tous les terrains, notamment les plus techniques, car les mouvements sont parfois un peu entravés, mais c’est un vêtement très efficace et d’un transport facile.
Il est souvent plus respirant qu’une veste.
Sous la pluie, les pieds devront rester le plus au sec possible. La question de la membrane se pose ici particulièrement : si l’on est sûr de ne pas immerger ses pieds au-delà de la hauteur de la tige (qu’elle soit basse, mid ou plus haute), alors une chaussure membranée sera un plus sous la pluie.
Dans le cas contraire, on aura de toute façon les pieds trempés et le séchage prendra encore bien plus de temps qu’avec une chaussure sans membrane… Il faut également tenir compte de la température, ces chaussures imperméables se révélant encore, malgré les progrès en respirabilité des membranes, souvent très chaudes aux pieds.
Nous ne trancherons donc pas encore ce débat !
Veillez, pour une utilisation sur plusieurs jours consécutifs, à évaluer la vitesse de séchage de vos chaussures, presque aussi importante alors que sa capacité à résister à l’humidité : c’est très désagréable de repartir chaussé de bottes encore trempées de la veille.
Les chaussettes, qui finiront de sécher sur vos sacs à dos, pour vous donner encore plus d’élégance, sont aussi un point d’attention en cas de météo humide : veiller à en apporter suffisamment sur une randonnée itinérante ; c’est sans doute l’élément de votre panoplie qui sèchera le moins vite !
Maintenant que vous savez comment bien vous habiller pour randonner sous la pluie, nous vous conseillons de bien vous assurer de votre sécurité.
Avant chaque randonnée, consultez la météo. Un orage, un épisode cévenol ou une tempête peut vous faire renoncer à votre projet de randonnée, ou, si vous êtes au milieu d’un voyage à pied par étapes, vous inciter à réduire ou ajourner une étape, mais une pluie « classique », même de longue durée et assez forte, ne devrait pas vous freiner. N’hésitez pas à lire notre article Sécurité en randonnée : les précautions indispensables
Un équipement adapté aux conditions humides vous permettra même d’apprécier la marche et le déroulé des paysages sous la brume !
N'hésitez pas à télécharger des applications mobiles telles que celles d’Iphigénie et de Whympr pour vous aider à bien préparer votre sortie.
Voilà : si vous emportez tout cela avec vous en cas de pluie modérée à forte, et bien sûr lors de vos randonnées itinérantes (vous ne pouvez pas savoir le temps qu’il fera au bout de quelques jours) vous pourrez marcher au sec ! Plus d'excuses pour ne pas partir en rando : maintenant vous savez comment bien vous habiller pour randonner sous la pluie !
Bonnes balades !
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Profitez pleinement de vos balades glacées ! Lisez les 8 astuces de Sylvain Bazin pour bien vous protéger du froid en randonnée. Et cela, de la tête aux pieds !
Vous êtes peut-être tenté de rester sous la couette lorsque le thermomètre descend en dessous de 10, voire 0 degré… Mais la beauté des paysages hivernaux ne se laisse pas aussi facilement ignorer ! L’hiver pointe bientôt le bout de son nez avec ses frimas, notamment dès lors que l’on s’élève un peu en altitude. Alors, pour que vous puissiez profiter pleinement de vos balades glacées, voici 8 astuces pour bien vous protéger du froid en randonnée de la tête aux pieds.
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La tête est une zone d’échange thermique très importante. Ses extrémités, c’est-à-dire, le nez et les oreilles, sont particulièrement exposés aux gelures et à l’onglée (conséquence douloureuse, mais bénigne du froid sur les extrémités des doigts).
Il faut donc adopter, selon la température et votre préférence personnelle, un bonnet, un « buff » (bandeau multifonction) ou un cache-oreilles, adapté à la randonnée. Si le temps est vraiment très froid avec du vent, vous pouvez aussi vous munir d’une cagoule, qui couvrira le bas du visage voire le nez.
Ici, c’est bien sûr la technique des « trois couches » qu’il faut privilégier par temps froid. On commence par une première couche thermique à la fois chaude, isolante et respirante. Puis par une seconde chaude et isolante de type doudoune ou polaire, qui assureront le maximum de chaleur.
Enfin, une veste de type imperméable, coupe-vent et encore isolante terminera la panoplie. En cas de très grand froid, pour bien vous protéger en randonnée, optez pour une parka grand froid qui couvre aussi les fesses et possède un col rembourré et chaud.
Elles aussi sont particulièrement sensibles et doivent être absolument couvertes par des gants adaptés à l’activité et la température. Ils doivent isoler, maintenir au chaud tout en restant respirants et pratiques. On se doit d’en posséder plusieurs paires, surtout si l’on habite une région froide, allant du simple gant fin que l’on peut utiliser pour un footing hivernal en ville au gant de ski de fond ou encore plus renforcé.
Les moufles, en cas de grand froid, sont également très efficaces, car elles maintiennent les doigts entre eux. Elles ont par contre le désavantage de limiter la dextérité… À vous de voir ce que vous préférez.
Allez, on descend… Le bas du corps, dont les jambes, est un peu moins directement sensible au froid, néanmoins, il convient de le protéger du froid comme il se doit, lors d’une randonnée.
On ne passera pas sous silence la zone génitale, qu’il convient de protéger correctement, avec un sous-vêtement adapté aux conditions, surtout pour les messieurs d’ailleurs. Un caleçon long pourra aussi être un bon allié lorsque les conditions sont très froides pour protéger efficacement les jambes.
Un pantalon hivernal de randonnée sera le plus souvent indiqué. Il peut s’agir aussi d’un pantalon d’alpinisme ou de montagne adapté à la marche. Si vous marchez dans la neige, un pantalon imperméable sera recommandé. Vous pouvez aussi utiliser un surpantalon pour mieux vous isoler ou si votre équipement de base est léger.
Enfin, tout en bas, nous voici à « l’étage » des pieds. Leur protection est essentielle, car ils sont, plus que tout le reste du corps, soumis aux éléments extérieurs et au froid, notamment dans la neige.
Les chaussettes sont importantes, encore davantage dans le froid. Là encore, elles doivent être à la fois protectrices, chaudes, isolantes, mais aussi confortables, ne provoquant pas de frottements et suffisamment respirantes pour que les pieds ne s’y sentent pas « enfermés ».
Il faut bien sûr choisir un modèle adapté à la randonnée et indiqué pour la température ressentie. La chaussette reste le premier rempart de vos pieds contre le froid et l’onglée, qui peut gâcher une belle randonnée hivernale !
Les chaussures sont aussi un élément primordial. Votre modèle de randonnée classique (s’il s’agit d’une botte de randonnée montante ou mi-montante), bien isolée et pourvue d’une tige en cuir ou dans une matière imperméable sera utilisable dans la plupart des conditions, même en hiver.
Seule la randonnée sur neige nécessitera sans doute un modèle spécifique – associé ou non aux raquettes. Les chaussures devront être particulièrement étanches et montantes pour garantir au maximum aux pieds de rester au chaud et surtout au sec !
À la différence de la chaleur, qui ne peut guère être combattue par une solution technique efficace (même si une tenue légère, une bonne hydratation et se mouiller régulièrement y contribuent), le froid, à moins d’être vraiment extrême, peut être quasiment dompté grâce à des habits adaptés. Le haut du corps par exemple, est l’une des parties du corps particulièrement sensible aux basses températures. Il faut absolument bien le protéger. Et pour cela, la tactique de l’oignon est très efficace !
En fonction de l’effort et des variations de température au cours de la journée, vous aurez plus ou moins chaud. La tactique de « l’oignon », où vous n’hésitez pas à retirer ou ajouter des couches en fonction de votre ressenti, est la bonne. N’hésitez pas à prendre un peu de temps pour rester dans un bon confort thermique pour totalement vous protéger du froid tout au long de votre randonnée.
Lors d’une randonnée hivernale, un sac à dos adapté, d’une contenance suffisante pour stocker vos vêtements en cas de besoin, est indispensable même sur une randonnée à la journée ! Il devra aussi être suffisamment isolé (sur sac imperméable notamment) pour ne pas que certains éléments gèlent ou soient mouillés à l’intérieur.
On vous invite aussi à lire l’article « Le sac parfait pour une grande randonnée » pour vous aider à préparer vos grandes balades.
Enfin, autre élément pas forcément indispensable, mais toujours le bienvenu pour une randonnée par temps froid : le thermos ! Rempli de café, de thé ou d’autre chose à votre goût, il apporte le plaisir d’une boisson chaude toujours appréciable pour se réchauffer de l’intérieur !
Voilà, comme vous pouvez le constater, le froid ne constitue plus un frein à la pratique de la randonnée.
Enfin… Pourvu d’être bien équipé ! Suivez bien ces 8 astuces pour rester au chaud et avancer à votre rythme.
Maintenant que vous connaissez les éléments de la parfaite panoplie du randonneur par temps froid (c’est-à-dire entre 5 et – 10 ° ici) vous ne raterez plus rien de vos balades hivernales !
Et pour ne pas vous perdre (parfois, on rate des balises sous la neige !), n’oubliez pas d’emporter votre app Iphigénie.
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Iphigénie s'engage à préserver les forêts françaises
"Aujourd’hui, l’absence de financement dans la forêt française se traduit dans beaucoup de massifs par des coupes rases ou par le vieillissement et l’uniformisation des forêts. Conséquence : une perte de biodiversité importante et une grande vulnérabilité de ces peuplements au changement climatique. Sans moyens, le patrimoine forestier est en danger. La solution ? Accompagner le sylviculteur qui, dans la gestion de sa forêt, prend en compte d’autres services environnementaux que la seule production de bois." peut-on lire sur le site de l'association Sylv'ACCTES.
Voilà pourquoi Iphigénie a décidé de s’engager concrètement auprès de Sylv'ACCTES.
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Avec plus d’un million de visiteurs uniques par an, Iphigénie est devenue en 10 ans, l’application cartographique de référence en France.
Que ce soit pour partir à la recherche d’une bouffée d’air pur dans la nature ou pratiquer une activité sportive, nombre d’entre vous parcourent donc les sentiers français (et mondiaux) grâce aux cartes digitales que vous trouvez dans notre app.
Alors nous sommes sûrs que, comme nous, vous notez au fil de vos randonnées, l’impact négatif de l’être humain sur son environnement. 🤯
C’est pourquoi Iphigénie rejoint 1 % for the Planet, collectif international pour une planète plus saine.
Nous reversons désormais une partie de notre CA à des associations qui protègent l’environnement.
Nous avons choisi d’aider Sylv’ACCTES dont la mission est de préserver les forêts françaises.
Sylv’ACCTES, permet de construire les forêts de demain en finançant des actions forestières vertueuses qui ont systématiquement un impact positif sur le climat, la biodiversité et les paysages.
En tant qu’app 📲 cartographique, il nous a semblé essentiel et cohérent de nous engager concrètement à leurs côtés.
Les actions de Sylv'ACCTES :
- FAVORISER les dynamiques de régénération naturelle au profit des essences forestières les plus adaptées
- DIVERSIFIER les essences et les classes d’âges pour rendre la forêt plus résistante
- SELECTIONNER ET ACCOMPAGNER les arbres qui feront la forêt de demain : les arbres d’avenir*
- PLANTER des essences d’arbres adaptées quand la régénération naturelle est trop faible ou inadaptée (en savoir plus)
- LIMITER LES COUPES D’ARBRES pour préserver les sols
- CONSERVER des arbres morts ou remarquables pour la biodiversité
Plus d’infos sur le site de Sylv'ACCTES.
Co-fondée en 2002 par Yvon Chouinard (qui a fait parler de lui récemment en faisant don de son entreprise Patagonia, valorisée à 3 milliards de dollars, pour lutter contre la crise environnementale), 1% for the Planet vérifie les dons au profit de l’environnement et amplifie leur impact.
Les entreprises membres 1 % for the Planet s’engagent à reverser 1 % de leur chiffre d’affaires à des causes environnementales.
1% for the Planet est un réseau de plus de 6000 membres, rassemblant des entreprises et des associations, avec un label reconnaissable et un message simple.
En un peu plus de 10 ans d’existence, ils ont reversé plus de 350 millions de dollars à des associations environnementales à but non lucratif.
Chaque année, les membres français comme Iphigénie, versent plus de 7 millions d’euros pour soutenir des projets porteurs d’avenirs.
Vous pouvez retrouver l’ensemble des données chiffrées de 1% for the Planet sur leur brochure en ligne accessible ici.
L’hiver n’est pas la saison rêvée des randonneurs. On a souvent envie d’oublier ses chaussures de randonnée pour se réfugier au coin du feu. Voici donc 3 excellentes raisons de randonner l’hiver pour se garder motivé !
L’hiver n’est pas la saison rêvée des randonneurs. Froid, jours gris et humides rythment les week-end de novembre à février. Il faut aussi composer avec des journées plus courtes, donc bien prévoir ses sorties pour ne pas être surpris par la nuit (même si finir à la frontale peut garder un certain charme !). On a souvent envie d’oublier ses chaussures de randonnée pour se réfugier au coin du feu pendant cette « morte saison ». Pourtant, marcher en hiver procure bien des plaisirs et des découvertes et il n’y a pas de basse saison pour la randonnée. Voici donc 3 excellentes raisons de randonner l’hiver pour vous garder motivé !
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Il serait bien dommage d’abandonner toute pratique de la randonnée pendant l’hiver, car de nombreuses régions se prêtent très bien à la randonnée hivernale. Si la forêt n’est pas forcément très agréable à arpenter à cette saison, avec les arbres dénudés de leurs feuillages, elle peut aussi révéler des points de vue qui sont cachés par la verdure le reste de l’année.
Avec la neige sur les sapins, on la redécouvre sous un autre angle. Elle devient presque magique. Le calme y règne et on peut s’y sentir vite apaisé. Enfin… Du moment qu’on est bien couvert ! Pour cela, on vous invite à aller lire l’article 8 astuces pour bien se protéger du froid en randonnée.
D’autres milieux naturels et certaines régions françaises notamment, demeurent tout à fait accueillants aux pas des randonneurs en hiver : les côtes atlantiques et méditerranéennes restent très propices aux balades hivernales.
La végétation y est moins changée que dans les zones très boisées : les conifères méditerranéens et la lande bretonne par exemple ne diffèrent pas tant que ça des beaux jours, et l’impression générale reste très plaisante !
Au sud, les températures clémentes (hors randonnée en altitude) permettent aussi encore de belles évasions dans la lumière hivernale.
De toute façon, même lorsque l’hiver est là et que le décor semble parfois moins attirant, on peut faire de belles découvertes et ressentir le plaisir de marcher en pleine nature partout et (presque) tout le temps.
L’hiver peut aussi être l’occasion de randonnées urbaines ou périurbaines : certaines villes – Paris et Bordeaux notamment – proposent des randos intra-muros qui permettent de redécouvrir la ville autrement, en marchant à travers les petites rues peu connues.
On se surprend à admirer ici un immeuble, là un petit trésor du patrimoine que l’on ignorait, alors même que l’on passe parfois sans le savoir juste à proximité. Ces randonnées urbaines se prêtent plutôt bien à l’hiver : les rues sont calmes et on peut facilement se réfugier dans un café pour prendre un bon chocolat chaud pour se réchauffer !
C’est aussi l’occasion de laisser de côté la voiture ou les transports pour se déplacer à pied. Une belle action pour protéger l’environnement. Essayez cependant d’éviter les bords de routes pour protéger vos poumons. Préférez les petites ruelles pleines de charme du centre-ville, les parcs ou les balades le long des quais des rivières (s’il y en a près de chez vous).
La randonnée en hiver est indispensable pour garder la forme et le moral ! Lorsque le corps n’est pas actif, on perd rapidement en santé.
« La marche est le meilleur remède pour l’homme » : cette phrase, supposément prononcée par Hippocrate il y a deux mille ans, est toujours d’actualité.
Sachez que marcher :
Alors, plus d’excuses, on chausse ses chaussures de rando ou ses baskets, c’est trop important pour la santé !
Le randonneur ne doit pas faire comme les marmottes et attendre de se réveiller au printemps ! Le redémarrage aux beaux jours sera aussi bien plus facile après un hiver où l’on a bien bougé.
Vous pouvez aussi pratiquer d’autres sports (gym, musculation, ski, ski de rando…) pour entretenir votre condition physique durant l’hiver et mieux redémarrer aux beaux jours.
Voilà donc 3 excellentes raisons de continuer à randonner en hiver. N’oubliez pas d’emporter avec vous votre app Iphigénie pour réussir à bien vous repérer sur les sentiers. Avec la neige, on rate parfois un embranchement et on peut se faire fait piéger par la nuit. Avec un itinéraire clair et précis, on a alors le seul souci de bien profiter de sa rando !
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Pourquoi ne pas faire de la raquette à neige en hiver lorsque la rando nous manque trop ? C'est un sport très facile et ludique à pratiquer. Voyons plutôt.
L’hiver est là. Le plaisir des belles randonnées pédestres est loin. Mais on peut totalement pratiquer la rando en hiver ! Du moins dans les régions montagneuses. Comment ? En faisant de la raquette à neige bien sûr ! Sport d’hiver très simple en termes de technicité, c’est aussi celui qui permet de se sentir très proche de la nature en plein cœur de la saison hivernale. Il est donc très adapté aux randonneurs. Voyons pourquoi il ne faut surtout pas hésiter à le pratiquer.
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La technique est simple, une marche un peu adaptée qui ne demande guère d’apprentissage. Tout juste doit-on veiller à marcher les jambes et les pieds suffisamment écartés pour ne pas chevaucher l’une raquette sur l’autre au risque de s’emmêler les pinceaux !
Les bâtons, quasiment indispensables avec des raquettes, permettent de mieux s’équilibrer dans la neige et d’avoir une marche plus efficace. Ils devront être munis de rondelles adaptées au bout, pour éviter de les enfoncer !
Voici aussi 3 excellentes raisons de randonner cet hiver.
Certes, les amateurs de ski, de glisse et de sensations fortes ne seront pas satisfaits, mais les marcheurs contemplatifs, qui aiment à se fondre dans la nature hivernale, seront comblés.
La raquette à neige permet en effet de découvrir des sentiers balisés, légèrement damés ou non, et même plus généralement de se promener dans la nature, sous les arbres enneigés ou à travers les prairies, loin des pistes et des remontées mécaniques, loin des stations, à l’écart des foules.
Des itinéraires à la journée ou en itinérance sont possibles sur les différents massifs. En parallèle des parcours de skis nordiques, de nombreuses stations ont ainsi dessiné des parcours de raquettes.
On retrouve les couleurs classiques (verte, bleu, rouge, noir) des stations de ski pour désigner la difficulté des parcours (basée essentiellement sur la longueur et le dénivelé) et on peut ainsi choisir et prévoir à l’avance sa randonnée, en fonction de la forme, de l’envie et du temps dont on dispose. On veillera à se procurer un plan des pistes et à bien suivre le balisage.
Si vous cherchez des idées de sorties en raquette à neige, n'hésitez pas à télécharger l'app Whympr en plus d'Iphigénie. Vous y trouverez de nombreux itinéraires ainsi que les conditions fraiches des sorties pour bien préparer votre rando.
Le Vercors ou le Jura proposent de grandes traversées balisées, où il faudra tout de même faire preuve d’autonomie et d’endurance. À réserver aux « raquetteurs » expérimentés !
Le GPS et Iphigénie seront utiles pour vous repérer, mais les tracés hivernaux diffèrent assez souvent des sentiers estivaux. On essaiera, en cas de perte du balisage, de revenir en arrière et de retrouver la bonne trace, c’est plus sûr.
Enfin, on peut certes circuler en raquettes sur des itinéraires non balisés. Il faut cependant rester très prudent, car la nivologie, les risques d’avalanche et bien d’autres dangers cachés par la couche de neige peuvent surprendre.
Les circuits balisés étant étudiés pour passer dans des zones présentant le minimum de risque, autant se contenter de ces derniers pour évoluer en sécurité, à moins d’être un très bon connaisseur du milieu et de la région dans laquelle vous comptez évoluer.
Bien entendu, on peut aussi pratiquer la raquette chez nos voisins et découvrir d’autres massifs et milieux naturels sous le blanc manteau : la Vallée d’Aoste, le sud-Tyrol italien, l’Autriche, l’Allemagne (en Bavière et dans la forêt Noire notamment) offrent par exemple une belle diversité de parcours.
Encore plus haut vers le Nord, la Scandinavie offre également de belles évasions à découvrir en raquette. Ainsi, en Finlande, le parc national de Pyhä-Luosto, au cœur de la Laponie, est l’un des meilleurs endroits pour randonner en raquettes dans le pays.
On se laissera guider à travers un dédale de sentiers enneigés dans les bois, avant de profiter d’une soirée au coin du feu, dans un refuge en bois typique. On ne serait alors pas étonné de voir surgir les lutins du père Noël à l’heure de dormir !
On pourra également tenter une balade nocturne, où l’on aura de bonnes chances d’observer une aurore boréale danser dans le ciel étoilé. Même en hiver, les idées de grandes évasions peuvent fleurir !
Une fois que vous retirez vos raquettes à neige, voici quelques conseils pour ne pas glisser. Car en effet, randonner l’hiver, c’est souvent rencontrer des sols enneigés, verglacés, glissants.
Bien sûr, le dessin de vos semelles devrait-être l’hiver un souci plus important : il faut des chaussures à l’excellente accroche, pour la boue et la neige. Néanmoins, même une semelle bien crantée glissera sur du verglas ou sur une neige fine.
Mais des solutions existent : vous pouvez en effet opter pour des petites chaînettes qui se fixent sous la semelle facilement grâce à un système de sangle plastique et de scratch. Ce système (développé par la marque YakTrax) est particulièrement léger, commode et performant sur les sols gelés ou sur la neige fine. Il garantit vraiment un pas plus assuré dans ces conditions.
D’autres systèmes, de mini-crampons, existent et seront plus adaptés à des sols déjà plus enneigés.
Enfin on trouve maintenant des modèles de chaussures de randonnée hivernale pourvue de semelles spécialement étudiées pour la glace et le verglas. On ne glisse pas avec, mais c’est vrai qu’il faudra habiter dans une région particulièrement exposée à ce type de conditions pour bien les rentabiliser.
Ainsi, avec un bon équipement, de la motivation et un peu d’imagination, l’hiver sera aussi une belle saison pour randonner !
Plus d’excuses pour ne pas chausser vos raquettes à neige cet hiver ! N'oubliez pas de bien vous protéger du froid avant de partir par contre.
On vous retrouve sur les pistes, faites-nous confiance, vous allez adorer !
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Saviez-vous qu'il existait au moins 7 différents types de chaussures de rando ? Avec nos conseils, choisissez celui qu'il vous faut pour profiter à fond de la balade.
La chaussure est l’outil de travail du randonneur. Elle est l’élément crucial de la panoplie du randonneur. Le choix d’une paire de chaussures adaptée à votre morphologie et aux terrains où vous pratiquez est donc ESS-EN-TIEL ! On ne le dira jamais assez. Vous n’avez pas envie d’avoir mal aux pieds après une heure de marche. Ni de devoir rebrousser chemin parce que vos orteils se transforment en compote (ou pire). Voici un article complet signé Sylvain Bazin, sur les 7 différents types de chaussures pour bien profiter de vos randos. Vos pieds vous remercieront.
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Même si chaque modèle est différent et plus ou moins adapté à tel ou tel type d’utilisateur (en fonction du poids, de la pratique, de l’intensité, du parcours et du milieu…) les différentes catégories de chaussures adaptées à la marche pourront orienter votre choix pour telle ou telle randonnée. Il existe 7 différents types de chaussures pour partir en randonnée. Petit tour d’horizon.
Légères, souvent souples, elles sont agréables pour la marche et adaptées aux terrains variés. Elles pourront donc convenir à de nombreuses randonnées, notamment si vous aimez les chaussures immédiatement confortables et vous permettant de garder une certaine tonicité.
Si vos chevilles sont toniques et que vous ne craignez pas (ou peu) les entorses, elles seront même idéales pour les terrains assez techniques, la boue et même la moyenne montagne.
Leur souplesse et leur confort pourront être appréciés. Certains modèles de chaussures de trail sont pourvus de membrane imperméable protégeant de l’humidité, assez proche des modèles de randonnée équipés de la même façon. Le défaut majeur reste la durabilité – faible – et elles ne seront pas très adaptées pour le portage d’un sac lourd.
Parfois très proches en caractéristiques des précédentes, les chaussures légères à tige basse sont en général mieux renforcées sur l’empeigne (la partie haute de la chaussure, qui couvre le pied) et présentent souvent des semelles un peu moins souples, mais tout aussi crantées et surtout plus solides.
D’un poids encore assez léger, elles constitueront un bon choix, surtout si vos chevilles sont agiles et que vous ne portez pas un sac trop lourd, pour une grande randonnée accomplie sur des terrains variés allant du bitume aux sentiers assez techniques, avec un dénivelé affirmé. Elles ne vous priveront en effet pas de toutes vos sensations au niveau du pied et de la cheville et vous permettront de marcher efficacement, de façon dynamique.
Ces modèles seront souvent plus agréables à porter en cas de forte chaleur que les modèles montants.
Assez résistantes pour accomplir un long voyage à pied, elles devraient dans la plupart des cas vous conduire à bon port.
Extrêmement robustes et fiables, les chaussures de marche d'approche sont conçues pour... comme leur nom l'indique, la marche d’approche (en montagne, randonnées mêlant sentiers techniques et petits passages d’escalade faciles) sont avant tout destinées aux terrains montagnards, rocheux et techniques. Leur bonne tenue de pied, leur précision dans les appuis et leur accroche très sûre pourront en faire un choix intéressant pour un trek engagé en milieu montagnard.
Pour les autres formes de grandes randonnées, leur raideur (il faudra tout de même penser à bien les « faire » avant de vous élancer) et leur poids relativement élevé semblent les disqualifier.
Elles sont en général très solides. Pour le trekkeur en montagne qui aime les tiges basses, elles peuvent constituer un choix intéressant, notamment sur les parcours les plus engagés techniquement et sur terrains rocheux ou rocailleux. Elles offrent une solidité qui pourra garantir une utilisation longue et même sur plusieurs années.
Elles pourront, de par leur rigidité et leur amorti, supporter des randonneurs chargés d’un sac assez lourd.
Encore assez légères, souvent résistantes, confortables, plus rigides que les précédentes, mais sans excès, les chaussures de randonnée semi-montantes constituent un choix adapté à la grande majorité de vos parcours. À l’exception des grandes marches en haute montagne, qui sont de toute façon davantage du domaine de l’alpinisme et de certains treks très engagés et très longs, où vous devrez porter de fortes charges sur des terrains difficiles et pentus.
Pour le reste des randonnées, notamment pour un voyage à pied avec un sac de poids raisonnable (entre 8 et 15 kilogrammes) en moyenne montagne ou en plaine, elles seront assurément un choix sûr et confortable.
Leur tige, qui monte juste un peu au-dessus de la malléole, protège suffisamment la cheville des principaux risques de torsion et vous soutiendra tout de même au niveau musculaire sur les zones des chevilles et du tibia. Elles sont donc plus « sécuritaires ».
Leur rigidité, en général plus importante que celle des chaussures basses vous garantira aussi une certaine sûreté sur les terrains techniques. Elles offrent un compromis intéressant entre protection, rigidité, légèreté et souplesse : si elles ne permettent pas réellement un pas au déroulé tonique et très rapide, elles ne contrarient pas non plus totalement le mouvement naturel du pied tout en « l’assurant » sur la durée et les terrains un peu difficiles et en aidant au port d’une charge relativement lourde.
Pour la plupart des voyages à pied et des randonneurs, elles constitueront un choix de raison, entre performance et confort. Face à l’humidité, elles seront souvent efficaces : leurs matériaux, cuirs, nubucks traités, sont souvent plus ou moins imperméables et elles sont généralement équipées de membranes qui garantissent en principe une bonne protection
… sauf si l’on met le pied dans l’eau !
Les modèles de chaussure tige haute sont nettement plus protecteurs, plus rigides, mais aussi plus lourds que les précédents. Leurs tiges plus hautes vous apporteront une grande protection de la cheville face aux entorses et un soutien important des muscles de la cheville et du tibia. Pour les marcheurs lourdement chargés abordant des terrains techniques, ces chaussures peuvent procurer une certaine sûreté et une bonne sécurité.
Elles sont la plupart du temps en cuir et possèdent une bonne protection contre l’humidité et les conditions extérieures. Elles sont par ailleurs assez souvent équipées en prime d’une membrane imperméable (et en principe respirante) qui leur garantit vraiment une bonne étanchéité. Parfaites pour marcher sur des terrains boueux et humides, sur l’herbe mouillée ou plus généralement sur des treks engagés, elles seront des compagnes de grande randonnée très sûres et plutôt confortables.
Il ne faudra cependant pas s’attendre à des plumes à vos pieds : ce type de chaussure pèse en général (pour une pointure homme 44 environ) 500 à 700 grammes la chaussure ! Vous risquez donc d’avoir un peu l’impression, au moins au début, de traîner des enclumes… Mais leur confort général, leur protection, leur sûreté sur les terrains déjà techniques vous les feront apprécier.
Sur un trek alpin, elles sont clairement le choix de la raison, à moins d’être très sûr de soi et d’avoir une pose de pied et des chevilles parfaites. Si vous partez avec un sac très léger, cela se discute également. Sur un pèlerinage type « Saint-Jacques », ou sur une longue randonnée, leur durabilité et leur confort général pourront être appréciés, mais il est vrai aussi que leur rigidité, leur poids et leur manque de tonicité seront peut-être des inconvénients.
Comme leur nom l’indique, les chaussures d'alpinisme et de haute montagne sont destinées aux cimes et à leur approche immédiate, là où bien souvent il n’y a plus de chemin, mais de la neige et des roches. Hyper rigides, très solides, elles offrent sur ces sols une adhérence, une sûreté et une sécurité accrues et même indispensables pour la plupart d’entre nous.
On peut y adapter des crampons, en général « automatiques » ou « semi-automatiques » (les crampons viennent se loger dans des inserts préformés sur la semelle et la tige) pour les zones glaciaires et la neige.
Perdons maintenant quelques grammes de matière, et aérons-nous les pieds ! Les sandales, un type de chaussure presque aussi vieux que l’humanité, équipaient déjà les armées romaines, et bien d’autres marcheurs au long cours sont allés équipés de ces simples chaussures ouvertes au cours des siècles.
Si elles restent un produit un peu « dissident » dans la randonnée actuelle et si leur usage peut difficilement s’adapter à tous les terrains et à tous les voyages à pied, elles pourront être de bonnes alliées lorsqu'il fait chaud.
Il existe aujourd’hui un assez large choix de sandales conçues spécialement pour la randonnée et dont les semelles, ainsi que parfois la forme, vous assureront un maintien, une accroche et une protection convenable pour des sols peu techniques.
Comme vous le constatez, il existe des chaussures bien différentes et typées qui seront toutes adaptées à différents types de parcours et de terrains. Pour une randonnée itinérante, ce ne sera pas la même chose que pour une randonnée à la journée par exemple.
Votre profil de pratique (êtes-vous très sportif ?, possédez-vous des chevilles souples et une aisance sur les chemins rocailleux ?, en descente ou sur les zones en dévers ?) sera également déterminant pour votre choix d’emporter telle ou telle chaussure sur votre prochaine randonnée.
Vous devez envisager d’utiliser plusieurs paires si vos parcours et vos projets sont variés : il semble difficile de vraiment trouver une chaussure à tout faire (même si un modèle « mid » classique est sans doute le plus polyvalent hors terrains extrêmes) où l’on sera toujours à l’aise.
Si vous êtes un pratiquant régulier, il peut être utile d’avoir au moins deux paires à disposition : un modèle léger (type trail ou randonnée tige basse notamment) pour vos balades courtes et faciles, et d’un modèle plus costaud pour les sorties plus longues, sur des terrains exigeants ou les grandes randonnées par étapes.
La qualité et la souplesse des éléments de votre chaussure déterminent grandement le confort et la solidité. Néanmoins, en fonction de votre parcours et de la nature des terrains que vous projetez de traverser, le profil de votre « chaussure de randonnée idéale » peut varier.
Sur un long voyage à pied, où vous trouverez une variété de sols et de conditions, il faudra trouver le meilleur compromis. N’oubliez pas aussi que dans la neige, une bonne solution peut aussi être de pratiquer la randonnée en raquette à neige.
Interrogez-vous sur la nature du parcours, sur sa durée, sur la saison : pour certaines balades, une paire de trail running, ou de randonnée basse légère, convient mieux.
Pour des grandes randonnées, notamment en montagne, il faut se tourner vers des modèles plus « costauds » : « mid » ou montant, avec des matériaux plus solides. Faites bien le « compte » de tous les éléments connus de votre projet de randonnée pour choisir la chaussure qui lui correspond le mieux.
Maintenant vous savez quel type de chaussures avoir pour vous assurer une jolie randonnée et prendre soin de vos pieds.
On vous retrouve sur les chemins avec Iphigénie !
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